Traitement des déchets

Traitement des déchets
Triage des déchets urbains par l'équipe de REC

mardi 7 mai 2013

Les handicapés physiques, conscientisés par REC, passent à l'acte maintenant. Conjointement avec REC, ils balayent les routes principales de Butembo, collectent les déchets du marché central, reboisent le long de la rivière Wayimirya et beaucoup d'autres actions de préservation de l'environnement  
 Courage chers amis de l'environnement



vendredi 19 avril 2013



c’est ce vendredi 19 avril 2013 que le CUPEGEC (Comité Urbain de Prévention et Gestion des Catastrophes) à Butembo a lancé les activités de Reboisement des Bambous le long de la rivière Wayimirya. Cette activité a connu la participation des autorités locales (Maire de Butembo et Bourgmestre de la commune Mususa), les ONGs nationales  (dont REC) et internationales militant pour la gestion de l’environnement ainsi que les services étatiques (services de l’AGRIPEL, de l’Environnement et de la Protection Civile).
A l’issu de cette séance un Comité Local chargé de suivi des bambous plantés a été instauré


Le Parc des Virunga menacé de déclassement par l'Unesco
Patrimoine mondial en péril de l'Unesco, le Parc des Virunga, au Nord-Kivu, risque de perdre ce statut en raison de la disparition progressive des animaux phares – gorilles, hippopotames - et des plantes rares. L'Institut national congolais de Conservation de la Nature tente de l’éviter en aidant les populations riveraines pour limiter le braconnage. Entretien avec Emmanuel de Mérode, son directeur provincial pour le Nord Kivu et le directeur du parc.

Syfia Grands Lacs(SGL) : Présentez-nous brièvement du Parc des Virunga et sa richesse.
Emmanuel de Mérode (EdM ): Créé en 1925, le Parc naturel des Virunga est situé à l'Est de la RD du Congo, à la frontière du Rwanda et de l'Ouganda. Il couvre une partie des territoires de Rutshuru et Lubero, au Nord-Kivu, et s'étend sur une superficie de 800 000 ha. Il est considéré comme le plus riche d'Afrique, voire au monde en termes de nombre d'espèces de mammifères, des reptiles et d'oiseaux. C'est en raison justement de sa valeur biologique que le Parc appartient depuis 1994 au Patrimoine mondial en péril de l'Unesco. Mais, avec la disparition de certaines espèces, ce statut n'est plus garanti pour les années à venir.
SGL : La menace est réelle?
EdM : Tout à fait, ce statut n'est pas acquis définitivement. Si le parc venait à perdre sa valeur biologique, il serait tout naturellement déclassé. La situation est réévaluée chaque année, lors de la réunion du comité du Patrimoine mondial de l'Unesco. La menace de déclassement est bien réelle et, à l'Institut national congolais de Conservation de la Nature (Iccn), nous en sommes conscients. Nous cherchons des solutions pour écarter ce risque. Pour l'instant, le parc survit et nous assistons même à la multiplication de certaines espèces, comme les gorilles de montagne.
S.G.L : Sur quels critères se fonde le comité de l'Unesco pour déclasser le Parc des Virunga ?
EdM : A cause d'une baisse du nombre d'hippopotames dans le lac Edouard. De 27 000 en 1970, le chiffre est tombé à 300 aujourd'hui. Même constat pour les éléphants dont la diminution est de 90% et d'autres animaux encore. En cause, l'occupation anarchique par les riverains et les groupes armés locaux ou étrangers mais surtout le braconnage. L'Iccn fournit des efforts considérables pour préserver la faune et la flore de cet endroit magnifique. Ce qui a d'ailleurs déjà coûté la vie à 130 gardes, victimes des braconniers.
SGL : Si le comité décide d'exclure le Parc des Virunga, comment allez-vous réagir, sur le plan de l'organisation?
EdM : En terme d'organisation interne, le Parc de Virunga va continuer à fonctionner, avec le personnel, pour la plupart des agents mis à notre disposition par le gouvernement congolais. Mais, sur le plan extérieur, le déclassement du Parc pourrait entraîner le retrait de bailleurs de fonds comme l'Union européenne. Et là, nous serions obligés de trouver d'autres ressources pour faire face aux coûts de l’entretien de ce patrimoine.
SGL : Quels actions avez-vous entreprises pour vous en sortir?
EdM : Beaucoup de choses peuvent et doivent être faites. Nous avons constaté que la méthode policière pour lutter contre la dévastation forestière n'a pas porté ses fruits, au contraire. Nous avons investi 80 000 $ afin de fournir un appui aux populations riveraines du Parc des Virunga. C'est dans cet esprit que nous avons réalisé des infrastructures comme, par exemple, le barrage de Mutwanga et la construction de 12 écoles dans les territoires de Rutshuru et Lubero. De même que la réhabilitation de 70 km de route pour désenclaver la localité de Watalinga. Cette route favorise le développement du tourisme dans le Parc. Depuis le mois de mai de cette année, nous rétrocédons 30% des recettes du tourisme aux populations locales.
A Rutshuru, nous avons également lancé un projet de fabrication de briquettes combustibles qui marche bien, avec l'encadrement de 3000 personnes. Ce programme est très important à nos yeux car si, dans les 5 années à venir, rien n'est fait pour répondre aux besoins énergétiques des populations, le déboisement risque de décimer tout le secteur sud du Parc.
Emmanuel de Merode un prince belge au milieu des gorilles
Il parle le français avec un drôle d’accent anglais. Issu d’une célèbre famille belge de la grande noblesse, cet anthropologue biologiste est le fils puîné de Charles-Guillaume, le “ chef ” de la famille de Mérode. Le prince Emmanuel de Mérode est né en Tunisie, a suivi ses parents travaillant pour les Nations Unies aux Etats-Unis avant d’atterrir avec eux au Kenya. Il est marié à Louise Leakey, une célèbre paléontologue américaine avec qui il a eu deux filles Seiya et Alexia.
Le 13 août 2008, Emmanuel de Mérode a été nommé par le gouvernement congolais directeur du parc national de Virunga. Il s’agit du premier directeur blanc depuis les années 70. Le Virunga doit sa célébrité aux nombreux gorilles de montagne qui y vivent… et au film “ Gorillas in the Mist ”. Rappelez-vous, Sigourney Weaver y campait le rôle de Dian Fossey.
Vingt ans plus tard, l’avenir des gorilles peuplant encore ce parc est toujours aussi noir. Victimes de la déforestation, ils sont encore la cible des nombreux miliciens qui tirent profit du commerce de la vente du charbon de bois. Pire, l’été 2008 , sept d’entre eux ont été tués sur l’ordre de l’ancien directeur. Ce dernier trempait dans des magouilles diverses, dont le commerce lucratif du charbon de bois.
Métier dangereux
Emmanuel de Mérode est conscient d’exercer un métier dangereux. “ Je ne voyage jamais de nuit. Je ne me rends jamais dans les régions dangereuses ”, explique-t-il depuis le Congo. Le Belge ne voit que rarement son épouse et ses filles, restées à Nairobi. Lors de ces quinze dernières années, 120 surveillants du parc ont été abattus, soit un surveillant sur… cinq. “ L’endroit est très dangereux, en effet.
Et, cachés dans les bois, il y a les malheureux gorilles qui risquent bientôt de ne plus rien avoir à se mettre sous la dent. “ Si le commerce illégal du charbon de bois continue, il n’y aura plus de gorilles de montagne dans deux ans. C’est maintenant ou jamais ”, poursuit Emmanuel de Mérode. “ En quatre années, la population de la proche ville de Goma a doublé. Les gens ont besoin de bois pour cuire les aliments, pour se chauffer. Heureusement, nous avons une solution ”. Planter des arbres et attendre qu’ils grandissent? Cela prendrait trop de temps. “ Nous promouvons l’utilisation de briquettes organiques, faites d’herbes ou de feuilles broyées. La population est réceptive… car cela coûte moins cher que le charbon de bois. ”
Reste à trouver les 200.000€/an nécessaires pour assurer la production de ces briquettes. “ 200.000€ pour l’approvisionnement énergétique de 2 millions d’habitants, ce n’est pas grand-chose ”, estime l’anthropologue qui a gardé de solides liens avec la Belgique. “ Ma famille y vit, j’ai fait mon service militaire en Belgique et j’y retourne régulièrement pour mon travail. ”
Le fait d’être prince, avoue-t-il, n’a aucune influence sur son travail et sur sa vie au Congo. “ Mais je ne peux pas dire que cela ne me fait rien. C’est mon nom de famille, cela fait partie de moi. ”

lundi 4 mars 2013

L a séance de planification de REC tenue du 02 au 03 mars 2013   vient de lui permettre d'élaborer un arbre à problème très bien détaillé. le problème environnemental principal constaté a été formulé de la manière suivante: L'ENVIRONNEMENT DE BUTEMBO EST DEGRADE. Nous remercions infiniment Mr Ivan qui a accepté nous accompagner dans cette étape.





dimanche 3 mars 2013

Environnement : protéger notre planète


D’après les définitions des dictionnaires, l’environnement, c’est l’ensemble des éléments, naturels ou artificiels, qui entourent un individu ou une société humaine, ou l’ensemble des éléments objectifs ou subjectifs qui constituent le cadre de vie d’un individu ou d’une société humaine.

L’environnement est malade

En 2005, 1360 experts ont rendu un rapport alarmant à l’ONU. Ils ont établi un constat unanime : si l’homme continue à dégrader la planète, d’ici trente à quarante ans, son bien-être sera menacé.
Pollution, désertification, risques sanitaires, réduction de la diversité des espèces et réchauffement climatique, le bilan environnemental planétaire est loin d’être réjouissant. Plus d’un milliard d’êtres humains n’ont pas accès à l’eau potable ; chaque jour, 50 à 100 espèces disparaissent ; 250 millions de personnes sont affectées par la désertification ; en 10 ans, 940.000 km2 de forêts ont été abattus … la planète est en danger. Et le danger n’est pas seulement écologique : la dégradation environnementale menace non seulement la survie des hommes (par la pollution, la désertification, les maladies…), mais aussi la paix : la raréfaction des ressources crée des tensions et des conflits qui sont de plus en plus nombreux et violents.

Comment en est-on arrivé là ?

L’activité humaine est pour une large part responsable de la dégradation environnementale et, en particulier, du réchauffement climatique. Ce sont les choix politiques, de production, de consommation, les choix énergétiques, industriels, économiques, qui sont en cause. Le calcul de notre empreinte écologique, montre que ces choix peuvent avoir des conséquences néfastes pour la planète.
Des modes de vie insoutenables
Discours politiques, publicité, marketing, tout nous pousse à consommer toujours plus. Les pays du Nord qui représentent 20% de la population mondiale, consomment 80% des ressources de la planète. Si les niveaux de consommation de ces pays sont maintenus et si les pays émergents se mettent aux mêmes niveaux, l’impact sur les réserves d’eau, sur l’air, le climat, la biodiversité et la santé humaine sera particulièrement lourd.
Une agriculture destructrice
L’agriculture intensive, qui tend à prédominer, a des conséquences néfastes sur l’environnement. Fondée sur la recherche du profit, elle est même contre-productive, car les monocultures et l’usage d’engrais et de pesticides accélèrent la destruction des sols, en aboutissant finalement à la baisse des rendements. Malgré les dégâts, ce modèle n’est toujours pas remis en question et reste le plus subventionné.
Consommation d’énergie et modes de production
Voiture individuelle, équipements électriques, climatisation, transports aériens tous azimuts... la consommation d’énergie est en perpétuelle augmentation, sans souci des conséquences, notamment sur l’environnement.
Parallèlement, les choix énergétiques actuels (pétrole, charbon, nucléaire) sont, soit extrêmement polluants, soit extrêmement dangereux. Les modes de production industriels, les politiques de transport des marchandises à travers le monde sont néfastes pour l’environnement.
Les études, l’expérimentation et la mise en œuvre de solutions alternatives concernant les énergies, les modes de production industrielle ou les transports sont tout à fait insuffisants.

Des conséquences inégales

Ce sont les pays du Nord qui consomment le plus d’énergie, produisent le plus de déchets et de pollution, au détriment des pays du Sud dont les ressources sont pillées par les multinationales (pétrole, gaz, sols, forêts, etc), et qui servent de dépotoir pour recevoir une grande partie des déchets des pays riches... Ainsi, le Tsunami, survenu en décembre 2004 en Asie, a montré à quel point la modification des côtes, due aux installations touristiques diverses et aux élevages intensifs de crevettes (destinées aux consommateurs du Nord) avait grandement aggravé les conséquences du raz de marée. Par ailleurs, les pays du Sud subissent aussi la main mise de sociétés multinationales qui exploitent leurs terres agricoles sans se préoccuper de les préserver. C’est ainsi que des gros producteurs de bananes, comme Chiquita, déversent des pesticides par avion sur leurs exploitations en Afrique et aux Caraïbes.
Enfin, l’impact des dégradations environnementales est d’autant plus profond que les populations sont économiquement fragiles. Les populations du Sud sont donc les premières victimes des conséquences du réchauffement climatique.

Une prise de conscience déjà ancienne

Depuis les années 1950, on assiste à une prise de conscience des conséquences des activités économiques sur l’environnement, en particulier des problèmes posés par les déchets et les pollutions. En 1971, un rapport du Club de Rome intitulé Halte à la Croissance dénonçait le danger pour l’environnement, d’une croissance économique et démographique exponentielle et préconisait la croissance zéro. Dans les années 80, le public a découvert que les pollutions dépassent les frontières : le "trou" de la couche d’ozone ou l’accident de Tchernobyl concernent la planète entière. En 1987, le rapport Notre Avenir à Tous lance un appel pour un développement durable et une modification urgente et profonde des pratiques humaines. La notion de développement durable dépasse la seule question de l’environnement car elle intègre la justice sociale, la démocratie et l’efficacité économique ; le succès de ce terme a contribué à faire de l’environnement une préoccupation majeure et à prendre en compte le lien entre les inégalités sociales et les problèmes écologiques. Malheureusement, il semble que la prise de conscience ne suffise pas car les mesures appropriées tardent à être prises, alors que la situation s’aggrave. Le rapport Stern (octobre 2006) qui part d’un point de vue économique affirme que 1% du PIB investis maintenant suffiraient à atténuer fortement les effets du changement climatique et éviteraient une catastrophe.

Irresponsabilité politique

Lors du Sommet de la Terre, à Rio de Janeiro en 1992, les Etats, prenant conscience de l’ampleur des atteintes à l’environnement, ont annoncé leur décision de réduire la pollution, de lutter contre la désertification et de défendre la diversité biologique ; 180 Etats se sont doté de l’Agenda 21 (plan d’action pour le XXIème siècle) référentiel regroupant 2500 recommandations, énumérant des principes d’action, des objectifs et les moyens nécessaires à leur réalisation. En 1993, à Vienne, la Conférence mondiale sur les droits de l’homme a insisté sur le droit des populations à un environnement sain.
Plus de 15 ans après, rien ou presque ne s’est passé, la situation environnementale est de plus en plus préoccupante : la cause en est aux mauvaises habitudes, aux législations négligentes, à la pression des pouvoirs économiques, aux délocalisations vers des pays où les normes environnementales sont faibles. Un renversement de tendance est cependant encore possible.

Que faire ?

Malgré la gravité de la situation, les experts auprès de l’ONU estiment que des changements importants de politiques et de pratiques peuvent encore renverser la tendance. Mais il faut réviser rapidement et complètement nos façons de faire. Selon eux, il est urgent que l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), par exemple, change son approche et prenne enfin en compte la question de l’environnement et des ressources naturelles.
Il est urgent aussi que les Etats qui ont signé et ratifié les diverses Conventions Internationales sur la biodiversité, la lutte contre la désertification, le réchauffement de la planète tiennent leurs engagements.
Beaucoup de choses peuvent être faites. Pour diminuer la consommation d’énergie, réduire la production de déchets et la pollution, nous devons certainement changer quelques-unes de nos habitudes (économie d’énergie, refus des 4x4, consommation locale et de saison etc). Il est indispensable que les Etats mettent en place des réglementations et des contrôles stricts et n’apportent plus leur soutien aux activités destructrices et polluantes. La société civile dans ce domaine a un rôle majeur à jouer pour faire pression sur les décideurs et pour faire changer les modes de consommation.

lundi 11 février 2013

JOURNEE DE REFLEXION SUR LES PROBLEMES ENVIRONNEMENTAUX DE LA VILLE DE BUTEMBO 

 C'est ce samedi 09 février 2013, que REC a organisé une séance de réflexion sur les problèmes environnementaux de la ville de Butembo. Cette séance a connu la participation des environnementalistes de Butembo de toute tendance confondue. REC vient d'en élaborer un document qui retrace les problèmes environnementaux de Butembo ainsi que leurs remèdes. cela l'aidera à poser des actions concrètes pour  pallier à ces problèmes

                                                  Restitution des travaux en carrefours
Photo de souvenir 




jeudi 31 janvier 2013

Chers amis, REC a réuni les riverains de Wayimirya en Comité de gestion qui supervisera l’évolution des plantules distribuées. cette action a connu la participation du Chef de Quartier Kitulu/Butembo. A cet effet, 1200 plantules de différentes espèces ont été distribuées a environ 200 riverains qui ont répondu présent a cette activité

mardi 15 janvier 2013

Quelques stratégies pour les leaders des
jeunes pour sauver notre environnemen
t:

.Au niveau personnel:
• Vivre en ambassadeur de protection de
... l’environnement.
Ne pas rester passif et indifférent face à une
personne ignorante.
• Veiller au maintien d’un environnement sain au
tour de nous (à la maison, au service, sur notre
passage, à l’Eglise…).
• S’efforcer de créer de la verdure au tour de soi:
Plantation d’arbres, fleurs, pelouse… même si on est locateur.
Penser toujours aux générations futures dans
ses actes avec impact sur l’environnement.
• Retenir qu’en prenant soin de notre
environnement, l’environnement prendra
aussi soin de nous.
• Ne jamais oublier que nous avons une
responsabilité et qu’un jour nous rendrons
compte à Dieu de la façon dont nous aurons
pris soin des oeuvres de sa création.

mardi 8 janvier 2013

Jeunesse, sauvons l'environnement

Quelques stratégies pour les leaders des
jeunes pour sauver notre environnement:

.Au niveau personnel:
• Vivre en ambassadeur de protection de
l’environnement.
Ne pas rester passif et indifférent face à une
personne ignorante.
• Veiller au maintien d’un environnement sain au
tour de nous (à la maison, au service, sur notre
passage, à l’Eglise…).
• S’efforcer de créer de la verdure au tour de soi:
Plantation d’arbres, fleurs, pelouse… même si on est locateur.
Penser toujours aux générations futures dans
ses actes avec impact sur l’environnement.
• Retenir qu’en prenant soin de notre
environnement, l’environnement prendra
aussi soin de nous.
• Ne jamais oublier que nous avons une
responsabilité et qu’un jour nous rendrons
compte à Dieu de la façon dont nous aurons
pris soin des oeuvres de sa création.